« Comme le titre de l'ouvrage le laisse deviner, il existe dans les propos de Celso Gutfreind des propositions fortes sur les fonctions psychiques de la narration et surtout en référence à ce qu'il y a de plus vivant en elle. La narration y apparaît comme respiration, exhalation et épanouissement de l'âme. Elle n'est pas seulement dans la vie, elle est la vie elle-même. Implicitement, de cet ouvrage se dégage une sorte de biologie du récit, car Celso Gutfreind s'intéresse à son essence vive où il ne se différencie pas de l'affect même. La narration se réalise comme une métaphore qui réunit indissociablement empathie, acte et parole. » Alberto Konicheckis