Les enquêtes du commandant Rosko??Le commandant Rosko, appelé en presqu'île guérandaise, mène, en collaboration avec un cabinet de détectives privés du Croisic, deux enquêtes : l'une, sur le meurtre d'Hélène Dalban, l'autre sur la disparition de Charlotte Lecour, de PonTchâteau.Les deux affaires finiront par révéler quelques ressemblances. Le policier et les détectives mettront alors un point d'honneur à démêler le vrai du faux. Mais ils ne seront pas, loin s'en faut, au bout de leur surprise, dans cette grille de maux croisés aux multiples pièges et rebondissements.Plongez dans cette intirgue à la fois mystérieuse et pleine de suspense !EXTRAITCe matin-là, Luc Dalban se leva comme d'habitude, une boule d'angoisse à l'estomac, embrassa Mathilda qui restait en général au lit une heure après lui. Il se rendait aux toilettes, mais ne se regardait jamais dans le miroir avant de se trouver présentable à lui-même. C'était un préalable auquel il préférait ne pas déroger - l'intégrité de son aspect physique lui importait plus que tout. Il prépara le petit-déjeuner, se prit les pieds dans le tapis, se trompa de dentifrice, mit une jambe de pantalon à l'envers, s'emmêla dans ses vêtements, fit tomber une tartine beurrée - du mauvais côté évidemment - etc. Comme d'habitude, tout allait de travers, mais d'habitude, ça avait tendance à s'arranger, tandis que ce matin-là, rien à faire, il régnait comme une ambiance maussade, du collant insidieux. Luc Dalban était plutôt du genre mélancolique, atteint le plus souvent de spleen, mais ce pessimiste gai avait l'art de passer entre les gouttes et de redresser les choses qui allaient de travers pour lui.C'était un contemplatif, restaurateur d'ouvres d'art, artiste lui-même, qui passait des heures dans son atelier, soit pour la restauration soit pour son loisir favori. Une partie de son temps libre était consacrée à la peinture. Il peignait essentiellement des mains. Les mains le fascinaient, et ce depuis son plus jeune âge.
Les enquêtes du commandant Rosko
¿¿Le commandant Rosko, appelé en presqu'île guérandaise, mène, en collaboration avec un cabinet de détectives privés du Croisic, deux enquêtes : l'une, sur le meurtre d'Hélène Dalban, l'autre sur la disparition de Charlotte Lecoeur, de PonTchâteau.
Les deux affaires finiront par révéler quelques ressemblances. Le policier et les détectives mettront alors un point d'honneur à démêler le vrai du faux. Mais ils ne seront pas, loin s'en faut, au bout de leur surprise, dans cette grille de maux croisés aux multiples pièges et rebondissements.
Plongez dans le 3e tome des enquêtes à la fois mystérieuse et pleine de suspense du Commandant Rosko !
EXTRAIT
Ce matin-là, Luc Dalban se leva comme d'habitude, une boule d'angoisse à l'estomac, embrassa Mathilda qui restait en général au lit une heure après lui. Il se rendait aux toilettes, mais ne se regardait jamais dans le miroir avant de se trouver présentable à lui-même. C'était un préalable auquel il préférait ne pas déroger - l'intégrité de son aspect physique lui importait plus que tout. Il prépara le petit-déjeuner, se prit les pieds dans le tapis, se trompa de dentifrice, mit une jambe de pantalon à l'envers, s'emmêla dans ses vêtements, fit tomber une tartine beurrée - du mauvais côté évidemment - etc. Comme d'habitude, tout allait de travers, mais d'habitude, ça avait tendance à s'arranger, tandis que ce matin-là, rien à faire, il régnait comme une ambiance maussade, du collant insidieux. Luc Dalban était plutôt du genre mélancolique, atteint le plus souvent de spleen, mais ce pessimiste gai avait l'art de passer entre les gouttes et de redresser les choses qui allaient de travers pour lui.
C'était un contemplatif, restaurateur d'oeuvres d'art, artiste lui-même, qui passait des heures dans son atelier, soit pour la restauration soit pour son loisir favori. Une partie de son temps libre était consacrée à la peinture. Il peignait essentiellement des mains. Les mains le fascinaient, et ce depuis son plus jeune âge. Ses amis lui demandaient souvent pourquoi, mais il ne pouvait pas répondre à cette question, comme si la réponse avait nécessité trop de vaines réflexions.
CE QU'EN PENSE LA CRITIQUE
Editions Bargain, le succès du polar breton. -
Ouest France
À PROPOS DE L'AUTEUR
Né à Paris,
Jean-Jacques Égron a passé son enfance dans le Morbihan. Après des études littéraires, il exerce diverses professions ; il est désormais retraité sur la presqu'île de Rhuys. Il a déjà publié 5 romans policiers.
Marais mouvant dans le Golfe est son premier roman aux Éditions Alain Bargain.
À PROPOS DE L'ÉDITEUR
"Depuis sa création en 1996, pas moins de 3 millions d'exemplaires des 420 titres de la collection « Enquêtes et suspense » ont été vendus. [...] À chaque fois, la géographie est détaillée à l'extrême, et les lecteurs, qu'ils soient résidents ou de passage, peuvent voir évoluer les personnages dans les criques qu'ils fréquentent." -
Clémentine Goldszal, M le Mag, août 2023